L’Âme belge, nom de cette revue clandestine, éclate comme une clameur en ces temps de guerre. Face à la brutalité teutonne, les Belges gardent une "âme"…
Pour Georges Eekhoud, le travail, encore et toujours, est la meilleure thérapie contre la guerre et ses corollaires dans Bruxelles occupée.
Il y a un peu moins d’un an nous évoquions le journal de Charles Gheude qui parut chez Oscar Lamberty (Bruxelles) en 1919, sous le titre : Nos années terribles.